MIME-Version: 1.0 Content-Type: multipart/related; boundary="----=_NextPart_01C4E625.EC3AEE40" Ce document est une page Web à fichier unique, ou fichier archive Web. Si ce message est affiché, votre navigateur ou votre éditeur ne prend pas en charge les fichiers archives Web. Téléchargez un navigateur qui prend en charge les archives Web, par exemple Microsoft Internet Explorer. ------=_NextPart_01C4E625.EC3AEE40 Content-Location: file:///C:/C7652CF5/DISCOURSPOTDEDEPARTLCLMATHIEU.htm Content-Transfer-Encoding: quoted-printable Content-Type: text/html; charset="us-ascii" DISCOURS POT DE DEPART LCL MATHIEU

Discours du Lieutenant-colonel MATHIEU à = son pot d’adieu aux armes

EMIAT AGEN 01/10/1971 – CORPS EUROPEEN 05/01/2005

 

Vendredi 10 décembre 2004

 

Je tiens à vous re= mercier d’avoir bien voulu répondre présent à mon invitation. Je suis particulièrement ému et très honoré par votre présence à tous, français, espagnol, allemand et belge qui êtes venus pour certains de trè= ;s loin. Ne manque à l’appel que les cadres français de mon ancienne unité tout simplement parce que leur nouveau chef de corps = leur a interdit de participer. Je saurai bientôt le remercier.

 

A special thanks for the coming of the Sp= anish, German and Belgian friends of the rapid reaction corps. You are almost the = only one from this marvellous corps. Indeed, the colonel BARRIERE has prohibited= to the French NSD soldiers to come. Only because I have not invited him. It’s really a pity. I think that the situation is worst than during t= he reign of the colonel from Château LOMBARD, you know what I mean.=

I can not translate all my speech into En= glish, but I think you can understand very good the French language.

 <= /p>

Mon colonel ORSINI, chef = de corps du 54RT,

Mes colonels, mesdames me= ssieurs, chers camarades et amis,

 

Cette très belle cérémonie, oh combien émouvante pour moi n’aurai= t pu avoir lieu sans l’assentiment du colonel ORSINI, chef de corps du 54R= T. Mon cher Emile, permets moi de te remercier très sincèrement d’avoir bien voulu accepter de faire mon adieu aux armes dans ton régiment. J’ai tenu particulièrement à ce que ce= tte cérémonie ait lieu au 54RT pour deux raisons, la premiè= ;re parce que je suis transmetteur et guerre électronicien, la deuxième parce que pour y avoir servi 12 ans en deux séjours = soit plus du tiers de ma carrière, j’y ai de nombreux souvenirs et attaches. Voilà pourquoi, cette cérémonie n’a pa= s eu lieu au corps européen où je suis affecté depuis l’été 2002.

 

AGEN

Si vous me le permettez, = je vais vous compter l’histoire d’une grande aventure. C’est le 1= er octobre 1971 que débuta le tournage des premières scèn= es d’un très long métrage intitulé « l’aventure des seigneurs du P32 ». Ces premières scènes furent tournées dans le sud-ouest, non pas des Etats-Unis mais de notre bonne vieille France, à Agen, ses pruneaux, mais aussi ses arènes, sans oublier ses écrins.

 

Les quelques 250 acteurs = qui ont participé au tournage de ces premières scènes étaient en majorité des débutants qui avaient été tous tentés par les offres alléchantes de petites annonces qui paraissaient dans des revues très spécialisées. On ne connaissait pas INTERNET à cette époque. L’une de ces revues s’appelait TAM TERRE, AIR, M= ER). Dans ces temps reculés, les médias n’étaient poi= nt aussi développés. Lorsque l’on parlait de TOILE, on pen= sait à toile de tente mais pas à la toile du NET. Je m’étais présenté à un recruteur pour post= uler. J’étais quand même étonné qu’il n’y ait pas de casting à passer. Le recruteur m’avait répondu : Non, non, il n’y a pas de casting. Signez simplement là, et de rajouter si vous signez pour 5 ans votre prime = sera plus importante que si vous signez pour 3 ans. Allons-y pour 5 ans. En 2 minutes, c’était fait, contrat en poche, valise à la ma= in, direction la gare. Dans le train, je rencontrais d’autres jeunes gens= et dans la discussion ils me disaient qu’eux aussi allaient participer au même long métrage. Arrivés à Agen, dans le train= une voix annonçait : Agen, Agen, terminus du train. A l’extérieur, y’avait encore d’autres jeunes, mais = que des gars, pas une seule fille. En moi-même, je me disais un film sans actrice, cela parait bizarre quand même. Sur le parking de la gare des camions militaires étaient alignés. On entendait « c’est pour la grande aventure des seigneurs du P32 », alors embarquez. A la vue de ces camions, on s’est = dit tiens le film va parler d’armée, de soldats, de combats peut-être.

 

A ce moment là, on= ne connaissait pas encore le scénario, mais c’était une be= lle journée ensoleillée. Et puis il faisait plus chaud que dans l’est d’où je venais. Tous ces jeunes acteurs déb= utants avaient le sourire. Salut, tu viens d’où toi, moi je viens de Marseille, et toi de Lyon, et toi de Lille et toi encore, de Brest, Y avait même des alsaciens qui venaient de Soultz-sous-Forêt et de Guémar. Ils étaient tous venus des quatre coins de la France pour vivre c= ette grande aventure.

 

Au quartier Valence, il y= avait d’autres acteurs qui nous attendaient. C’étaient à les voir des professionnels. Ils étaient en tenue militaire. Ils étaient aussi plus âgés que nous, certains plus que d’autres. Ils avaient tous des galons. Y en avait avec un V renversé, d’autres avec 3 V renversés ou avec une barre= tte blanche, d’autres encore avec une barrette jaune. Certains en avaient même 2. Et puis, y avait un grand bonhomme costaud, lui il avait 3 barrettes jaunes sur la poitrine. On s’est dit c’est sûre= ment lui le producteur, le metteur en scène et réalisateur, en un = mot le patron quoi.

 

Au bout d’un moment, l’un de ceux qui avait un V renversé sur la poitrine nous dema= nda de nous ranger. Et effectivement, c’est le grand baraqué, il a= vait des airs de John Wayne, qui pris la parole : Mes seigneurs, j’espère que vous avez fait bon voyage, soyez les bienvenus à la 3ème compagnie, et de rajouter vous allez voir nous allons vivre une grande aventure, « l’aventure des seigneurs du P32 ». Il était impressionnant avec ses mains sur les hanches, en haut des 3 marches du bâtiment. Quelques minutes après, il nous a dit maintenant on va vous conduire dans vos chambre= s. La surprise, on s’est retrouvé entre 15 et 30 par chambre avec comme seul chauffage un poêle à fioul. Et en plus les lits n’étaient même pas faits. Après avoir échangé quelques impressions, fatigués par le voyage, = on s’est endormi dans les bras de Morphée, en rêvant &agrav= e; cette aventure qui nous attendait.

 

Dès le lendemain m= atin, les militaires dont je parlais tout à l’heure nous ont dit que= le producteur, le metteur en scène et réalisateur, il fallait l’appeler MON CAPITAINE.

 

L’apprentissage du métier d’acteur a démarré très vite sur l= es chapeaux de roues. Tous les déplacements se faisaient en courant, même pour faire 5 mètres. Le garde à vous, plus que le r= epos d’ailleurs et le salut sont devenus des leitmotive. On n’arrêtait pas de saluer en claquant sur le pantalon.

 

La première &eacut= e;tape de l’aventure a très vite passé. C’est là = que l’on s’est aperçu que le casting que l’on n’= avait pas eu avant d’arriver s’était en fait déroul&eac= ute; pendant ces premières semaines, à l’insu de notre plein gré comme dirait un cycliste bien connu. En effet après un re= pos bien mérité de 3 jours, certains nous ont quittés car = ils ne correspondaient pas à ce que les chefs attendaient.

 

Et puis les mois ont défilé, notre capitaine et tout son encadrement a su faire progressivement, au fil du temps de tous ces jeunes gamins, parfois garneme= nts, des seigneurs un peu plus performants et endurants. Je vous passe les épisodes de la = Garenne ou encore de Caylus et sa célèbre boule rouge omniprés= ente ou encore la marche des 100 bornes et sa réserve de chasse intermina= ble. Je ne parle même pas du sergent-chef mono de sport qui toutes les fois que l’on faisait des conneries nous faisait pomper en disant je suis = un con, le chef est un bon. Je ne parle pas non plus des revues caméléon ou des chambres qui fallaient installer dans la cour à l’identique. Et j’en oublie sûrement.

Et déjà, ce= tte première année était passée, c’éta= it l’heure de quitter ce lieu de tournage pour en retrouver d’autr= es, beaucoup d’autres. Notre capitaine était là pour souhai= ter bon vent à ses gamins comme il disait ou ses seigneurs que les autre= s ne pouvaient toucher sous peine de se faire houspiller. L’instant était émouvant.

 

Ce matin, un certain nomb= re de ces acteurs de la 1ère heure sont présents, Gilles BARBEZIEUX, Philippe BARBARE, Patrick CORDIER, Patrick DELBEQUE, Eric DUREL, Roger ESCHBACH, Patrick FERAT, Marcel GROB, Hervé PAPA, Michel PALAZ= Y, Michel PEIGNIER, Jean-Pierre SERBONT et Daniel THIELL. Beaucoup d’aut= res se sont excusés de ne pouvoir se déplacer. Merci à vous tous les anciens d’être venus ce matin.

 

Si je vous ai parlé= ; aussi longuement de cette première année, c’est tout simpleme= nt parce que le capitaine André Aubignat en particulier et son encadrem= ent en général nous ont laissé tant de précieux souvenirs gravés à tout jamais dans nos mémoires.

 

Je m’adresse mainte= nant à ce capitaine qu’il était à l’époq= ue. Mon cher René, permets moi de te remercier très sincèrement d’avoir accepté de faire ce déplacem= ent de Belgique où tu résides actuellement pour venir me dire Au revoir. Tu n’as pas hésité une seconde lorsque je t’ai contacté il y a près de 3 mois. Tes gamins présents ce matin qui ont quelque peu grandi, comme tu peux le remar= quer ne s’attendaient sûrement pas à te trouver ici, 32 ans après. Un grand merci, mon cher René. Tout à l’heure, nous aurons l’occasion de nous remémorer tous c= es moments.

 

8°RT / CLEEM=

 

Je ne développerai= pas aussi longuement toutes les autres étapes de cette aventure, rassurez vous.

 

Après cette ann&ea= cute;e, riche en évènements et souvenirs, j’ai rejoint le CLEEM (Centre de Langues Etrangères et d’Etudes Militaires) à l’Ecole Militaire à Paris avec une cinquantaine d’autres jeunes sergents tout frais et moulus que nous étions. Pendant deux a= ns, nous avons usé les fonds de nos pantalons sur les bancs de cette bel= le Ecole. Nous étions pendant ces deux années des potaches habil= lés en péquin avec veste et cravate et petite mallette. Ces deux années ont été 2 belles années certes studieuses mais oh combien plus reposantes.

 

44°RT

 

Fin août 1974, la cinquantaine de jeunes sergents est arrivée groupiert (comme dans le film) à la Cornichonstrasse (la rue des Cornichons) quelle drô= le de nom, au 44RT à LANDAU. Là nous avons fait la connaissance d’anciens dont certains sont présents ce matin, j’en pro= fite pour les remercier. Ces anciens se sont occupés de nous former. Nous avons participé à la création de la 4ème compagnie. Que de souvenirs aussi. A cette époque, nous avons eu la chance d’avoir deux très bons commandants d’unité= , le capitaine LAFFONT qui nous a quittés beaucoup trop jeune et le capit= aine SERPOLLET, actuellement général de division, inspecteur de la Fonction Command= ement Renseignement que j’avais invité. Il m’a envoyé u= ne carte me disant qu’il ne pourrait être présent pour caus= e de réunion avec le CEMAT. En substance, il m’écrit que son temps de commandant d’unité de la 4 fait partie de ses souveni= rs les plus précieux.

 

BERLIN / ASTRAB<= /b>

Fin 1980, je rejoignais B= erlin. Je remercie le LCL BENARD, le major RAEPPEL et l’adjudant-chef FURIGA d’avoir répondu présent ce matin.

C’est pendant ces merveilleuses années dans le BERLIN encore divisé, que j̵= 7;ai décidé de préparer le concours d’officier, avec l’adjudant BENARD. Je me souviens toujours du jour où nous som= mes arrivés à Montargis pour passer l’oral. Une capitaine était à l’accueil qui en nous voyant nous a dit vous n’allez quand même pas passer le concours avec des cheveux aussi longs. A Berlin, on travaillait en civil, alors forcément les cheveux étaient plus longs qu’en régiment. On s’est exécuté, on a été se les faire couper, les chev= eux s’entend. Le concours s’est bien passé. Nous avons intégré tous les deux la division d’application.

 

DA MONTARGIS=

 

Et c’est à Montargis, cité Patrie, que nous avons retrouvés en septembre 1983, les adjudants Hervé PAPA et Daniel GAILDRY du P32 mais aussi l’adjudant Michel BOSCHER et le sous-lieutenant Ronald TILLY que nous avions connu rapidement au 44RT, quelques années auparavant. Il y av= ait également un jeune lieutenant qui venait à peine d’arri= ver de son Ecole des Arts et Métiers. Ce jeune lieutenant c’était le colonel ORSINI, l’actuel chef de corps du 54. Cette année a laissé également beaucoup de souvenirs. =

 

2°RCS

 

Les deux années su= ivantes furent les deux seules années où j’ai servi dans une unité de transmissions, au 2ème RCS à SATOR= Y. C’était encore l’époque du transitoire, de la bidouille et de la filasse qu’il fallait tirer, les liaisons étaient parfois aléatoires. A cette époque, entre les camps de champagne et les manœuvres nous étions très sollicités.

 

54°RT

 

Le 28 août 1986, j’arrivais à la création du 54. Là je retrouvais pour la 3ème fois le lieutenant Hervé PAPA et une foultitude de cadres que j’avais connus à l’époqu= e du 44. Après un passage aux ST, actuel BML, à la section TRANS et à la section interception de la 4ème CIE, j’= ai eu l’honneur d’être l’officier adjoint du capitaine TILLY, deux années pendant lesquelles il ne m’a pas beaucoup v= u. Entre un séjour de 6 mois à Bangui, le stage des capitaines e= t le stage STR sans oublier les permissions.

 

Le 1er juillet 1991, le c= olonel DOIREAU me confiait le commandement de la 4ème compagnie. Prendre le commandement de cette unité était tout un symbole = pour moi. J’avais été un de ceux qui avaient participé à la création de la 4 du 44, 17 ans auparavant. La 4 du 54 en était un peu l’héritière. D’où la grande fierté de commander cette unité. Avec l’ann&eacu= te;e à AGEN, ce temps de commandement reste pour moi la période la plus marquante de ma carrière. De cette époque, rares sont ce= ux qui sont encore en activité. Je remercie tous les anciens de la 4 présents ce matin. Certains sont venus de loin.

 

EM BRGE

 

A la fin de mon temps de commandement, le colonel DOIREAU m’a fait muter à l’Etat-major de la = BRGE, la BR de maintenant. Je n’étais pas très enchanté de quit= ter HAGUENAU. J’aurais voulu être muté au corps europé= ;en à Strasbourg afin de rester dans la région. Avec le recul, je= me dis que j’ai bien fait d’accepter d’aller à METZ. = Dans cet état-major, j’ai retrouvé un chef que j’avais connu quelques années auparavant au BOI du 54, le colonel GILLET que j’ai eu comme chef de section. Je le remercie d’être présent ce matin. J’ai retrouvé aussi celui qui avait été chef de corps 3 ans auparavant au 54RT. Ce chef je l̵= 7;ai eu pendant mes 4 ans à la BR. Je ne peux pas dire que ce chef était un ami compte tenu de l’ancienneté qui nous séparait. Mais en temps que célibataire géographique, nous partagions nos moments parfois= de solitude. Il y avait une certaine complicité qui était née. Depuis 1997, nos chemins se sont séparés, mais j’ai gardé contact avec ce colonel qui n’a pas hé= sité non plus à venir de Pignans, à côté de Toulon. M= on cher colonel DHALLEINE, tous mes remerciements à la classe 17, votre présence aujourd’hui me touche profondément et je vous = en remercie vivement.

Je n’oublie pas non= plus le premier commandant de la = BRGE, le général THEODOLY LAN, un sacré chef, spécial= iste du renseignement, reconnu et apprécié par tous.

 

54°RT

Ces 4 années ont passé finalement très vite, c’était déjà le retour en Alsace, à l’été 1997, pour un 2ème séjour au 54. Après un an passé au BRRCP que le colonel JENNEQUIN chef de corps de l’époque m’a demandé de créer, il m’a confié la Dir= ection des Ressources Humaines. Ces 4 années ont été passionnantes. Je remercie encore tous les cadres et les militaires du rang= qui ont œuvré à mes côtés pour le bien des administrés. Quelques mois avant ma dernière affectation, j’ai eu la chance d’aller commander le DET HF de N’djaména. Là encore ces 6 mois ont été très enrichissants sur le plan du travail mais surtout sur le plan humain. J’aurais aimé avoir plus longtemps comme collaborateurs certains anciens qui se reconnaîtront puisqu’ils sont présents ce matin.

 

CORPS EUROPEEN

Je pensais pouvoir termin= er ma carrière au 54, mais la DPMAT en a décidé autrement et m’a muté dans une des 4 unités françaises du corps européen. Après 1 an et demi, j’ai simplement renonc&ea= cute; devant autant de complexité et c’est dès le mois de février que j’ai décidé de me retirer. Un merci = tout particulier à mon chef de service de l’aide qu’il m̵= 7;a apporté pendant ces deux années.

 

Une période de tro= is mois d’adaptation en entreprise m’a permis de quitter cette unit&eac= ute; de façon anticipée.

 

Dans 4 semaines, le 5 jan= vier 2005, la dernière page du dernier chapitre de cette longue et passionnante aventure sera irrémédiablement tournée. <= /p>

 

Cette grande aventure aura duré un peu plus de 33 ans 3 mois et 3 jours. Si pour certains partir c’est mourir un peu, pour ma part ce n’est que repartir pour une autre aventure, celle du Saint-Exupéry. En effet, dès le 5 janvier, j’irai retrouver celle qui sera mon dernier chef de corps, m= on épouse pour ne pas la citer qui m’a pris comme second.

 

En cette période d= e fin d’année, permettez-moi de souhaiter à tous ceux qui son= t en activité une bonne continuation dans leur parcours professionnel et à tous les retraités encore de très belles et longues années de sérénité.

 

Merci enfin à vous= tous que j’ai côtoyé de près ou de loin, pendant toutes ces années et que je n’ai pas cité. L’ultime remerciement ira au commissaire et à ses gens qui ont prépar&= eacute; ce buffet

 

Je pense que j’ai a= ssez parlé, il est temps de ripailler et de s’arsouiller mais toute= fois avec modération.

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